Coucou les p’tits chats !
Chez nous, le lundi c’est un peu comme le dimanche, alors on profite du repos pour aller claquer la paie chez les Foires fouilles, Noz et autres magasins « pas chers » qui finissent par te faire lâcher le prix d’une paire de Louboutin. Bon l’avantage, c’est qu’au lieu d’UNE SEULE paire de chaussure que tu mettra jamais, tu repars avec des coussins, des boites, des masking tape, des verres … Bref, de quoi remplir ton appart’ déjà bien fourni… Et tu peux même découvrir des perles en FOOD, que tu ne retrouvera surement jamais de ta vie.
C’est comme ça que je suis tombée sur un petit Earl Grey qui vaut le détour.
Alors, pendant que l’amoureux retombe en enfance en jouant à Pokemon sur ma GameBoy Color toujours vivante, je m’autorise un petit tea time bien mérité.
Je sors la théière de circonstance, estampillée Windsor Castle, offerte par mon beau père aussi fan que moi de trucs vintages qui servent à rien (ou pas), je mets mon eau à chauffer à 80 ° et je laisse infuser 2-3 minute un petit sachet tout mignon.
Et puis c’est parti pour la détente, odeur de bergamote et citron tranché :). Un vrai moment #hyggelig à l’anglaise.
Le Earl grey à un goût un peu âpre qui ne convient pas à tout le monde, moi j’aime bien, mais pas tout le temps, parfois, j’ai besoin de plus de douceur… Cependant, je dois avouer qu’aujourd’hui c’est exactement ce qu’il me fallait.
J’ai trouvé celui-ci particulièrement correct pour un truc acheté chez action et je suis bien contente d’avoir craqué. La boite et mimi et je ne sais pas si j’arriverais à m’en débarrasser une fois tous les sachets infusés.
Pour la petite histoire, directement tirée du Tea sommelier :
Vers 1830, un thé parfumé mythique naît en Europe : l’Earl Grey. La légende raconte qu’au cours d’un voyage diplomatique en Chine, Charles Grey, deuxième comte (earl en anglais) Grey et premier ministre britannique, reçut des mains du Mandarin une recette très ancienne consistant à parfumer son thé avec de la bergamote. À son retour au pays, il aurait offert cette recette à l’une des deux grandes maisons de thé londoniennes, qui depuis s’en disputent l’authenticité.
La réalité est tout autre : Charles Grey ne voyagea jamais en Chine et quand, versant par goût personnel quelques gouttes d’essence de bergamote dans sa tasse de thé, il ne se doutait sans doute pas qu’il allait endosser la paternité d’un des thés les plus célèbres de l’Histoire !
Bonne dégustation,
La Baronite
Coucou je crois n’être reconnu où pas 🙂
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